vendredi 29 février 2008

Promenades de février

La toile regorge de sites racoleurs et lénifiants, les bonnes maisons sont si rares que nous nous sommes dis qu'il fallait les recommandées quand nous les croisons :

Belles lettres, belles courbes et jolis dessous pour Céline dans Strip-tease ou la facilité de se dévoiler. Ma Belle est un peu jalouse du petit effet qu'ont eu ces photos, ca sent les représailles agréables. Quelques albums photos dont le très prometteur Céline PinUp .. mais la plupart de photos ne sont qu'en vignettes :-(

Maintenant le site qui a tenu en halène ma Belle toute la semaine : Sophie Libertine. Si au départ, se sont les magnifiques masques (arborés par les mannequins qui présentent les articles) qui ont retenu l'attention de ma Belle. Elle a vite craquer sur la moitié de la boutique. Nous avons résisté jusque là au fatidique bouton "Commander". Mais il va vite falloir trouver des (bonnes) excuses pour utiliser tout ce qu'on aura finalement acheté. Seuls bémols, certaines photos d'articles sont plutôt ratées et surtout les magnifiques masques ne sont pas en vente :-(

samedi 23 février 2008

Saillie

L'idée est de Ma Belle. Une idée simple, un fantasme bizarre. Elle m'en a parlé il y a à peine quelques jours. C'était pour le moins original. J'avais acquiescé un peu machinalement sans croire qu'on le ferait vraiment un jour. C'était excitant mais un peu irréel. Mais elle n'avait apparemment pas le même point de vue. Les courses sont faites et la soirée libérée. Pas grand chose à mettre au point en fait. Il reste à faire l'expérience.

Je termine de me préparer dans la salle de bains. L'idée était simple .. sur le papier. Une longue douche, un rasage intime. Séché, je commence par la bouche. La boule en place, la boucle fermée et ajustée, une fois la bouche bâillonnée, tout ça n'a pas mis très longtemps à m'émoustiller. La suite promet. Elle commence par un petit objet ... très décoratif. A la sortie du sachet, c'est toujours les longs crins qui attirent l'attention. Je me concentre très vite sur l'autre extrémité. Une noix de lubrifiant, le rosebud s'enfonce doucement en écartant mon anus. La sensation est double : le métal qui habite mon derrière, le crin qui caresse mon entre-jambe. Troublé, mais .. je n'ai pas encore fini.

L'idée de Ma Belle est précise et le sachet n'est pas encore vide. Il en sort justement une petite chaînette qui relit deux menottes de cuir. Quelques contorsions des poignets plus tard, elles sont en place. Il reste à saisir un large loup noir et à le passer. Le noir se fait.

C'est donc à tâtons que j'entre dans la chambre. Les ustensiles qui m'équipent prennent tout leur sens. L'idée de Ma Belle est plus qu'efficace : handicaper nos sens pour les concentrer. Je dois donc la rejoindre, elle m'attend à quelques pas. Je ne peux que l'imaginer : à 4 pattes, elle aussi bâillonnée, menottée, une queue de cheval dans le derrière. J'entends maintenant son souffle court. Je parviens à tâtons jusqu'au bord du lit où trône ma belle.

Le premier contact est les crins de sa queue. Mes deux mains menottées s'en servent comme guide. Le léger effort mécanique sur l'anus de ma Belle lui fait émettre son premier râle étouffé. Elle gémit doucement et esquisse un mouvement sous le plaisir. Sa queue me tire légèrement vers elle. Je me mets à genoux juste derrière elle, c'est maintenant mon sexe qui rencontre ses crins. Avec un peu d'aide, le rosebud trouve une orientation plus compatible avec ma présence. Mes mains trouvent ses hanches; mon pénis, son entre-jambe.

Nos deux sexes se rencontrent tout de suite. Tous nos sens se concentrent instantanément sur cette verge tendue et ce clitoris impatient. Une humidité accueillante.

Elle attend d'être saillie.

Mes mains se séparent autant que les permettent les menottes. Je prends ses hanches et je commence à enfoncer mon pénis. L'accueil est fameux. Son sexe est bouillant. Le mien prend un immense plaisir à trouver sa place. Son rosebud me salue au passage. La glissade est longue et magique. Le gémissement de Ma Belle est saccadé, à la fois gênée et excitée par le baillon-boule. Je la pénètre bientôt de tout mon long. Dans cette petite pause, nos deux anus jouent chacun à leur manière avec leurs rosebuds respectifs. Le mien me fait du bien en contractant et en décontractant autour de son visiteur. Le sien est aussi à la fête, faisant trembler à la fois les longs crins qui nous caressent tous deux.

Mais ma belle en veut plus encore. Elle est là pour se faire prendre, pour qu'un mâle la prenne sans qu'elle n'y puisse rien, pour qu'elle gémisse sous les assauts. Alors je prends ma place. Je ressors ma queue. J'avance mes mains jusqu'à ses épaules. Gêné par les menottes, je ne peux que l'attraper à la base du cou. Ma Belle prend elle-aussi sa place. Elle baisse la tête. Elle bouge des hanches cherchant mon sexe avec le sien. La première saillie nous surprend tous les deux. La violence de la pénétration, la puissance du plaisir nous retournent. Nous râlons de concert, la respiration gênée. Mes mains s'affermissent encore. Et les aller-retours re-penetrent de plus belle. Comme l'avait imaginé ma belle, nous sommes comme deux animaux en plein plaisir. Les crins de nos deux rosebuds s'agitent, remuant et dilatant nos deux derrières. Les menottes sont à rude épreuve, empêchant tant qu'elles peuvent nos mains de venir nous soulager de leurs caresses. Nos deux baîllons ne laissent que passer les gémissements étouffés et maintenant la bave des deux animaux que nous sommes. Animaux qui ne peuvent qu'imaginer la scène les yeux fermés derrière nos larges loups de cuir.

Son sexe est maintenant très élargi. Le mien explore avec délice cette douce chaleur humide. Les deux nous remontent une tonne de sensations à chaque mouvement. Sous ce traitement, c'est elle qui explose la première. Son sexe se met à frétiller dans ses profondeurs. Son orgasme est en train de prendre le contrôle de son corps. Elle tremble littéralement sous le plaisir. Sa tète enfouit un dernier râle dans l'oreiller.

Nos deux souffles retrouvés, Ma Belle comprend alors qu'elle doit reprendre sa place. Sa place de femelle qui doit recevoir la semence de son mâle. Elle se remet sur ses coudes. A quatre pattes, elle appuie ses fesses contre moi, renfonçant un peu plus nos deux sexes. C'est sa manière de se dire prête. Prête et soumise à son étalon qui doit maintenant se vider en elle. Je reprends ses hanches et mes aller-retours. La vigueur de cet ébat final est mise en musique par nos gémissements. Elle jouit de me sentir prêt à jouir. Je jouis à en suffoquer. Les quelques jours d'abstinence se vident en quelques longs jets. Chacun d'entre eux déclenche nos gémissements.

.. la saillie est finie.